Vert chez nous
vendredi 15 septembre 2023
Journée Portes Ouvertes le 23 septembre
dimanche 27 août 2023
Recherche d'un nouvel associé pour le F2
Le bail de la locataire du F2 se terminant, nous
souhaitons ajouter une force vive supplémentaire à travers un nouvel
associé !
A la fois apport financier, même incomplet, et force
de propositions, une personne de plus nous permettra de rebattre les cartes. Jusque-là notre charte se basait sur
un travail effectué en 2010 avec le noyau de l’époque ; maintenant, à la
lumière de ce que nous avons vécu depuis, nous pouvons définir plus finement ce
que nous désirons vivre à travers la formule « Habitat participatif ».
A l’issue d’un petit travail de recherche avec un
coach, nous avons modifié la charte (voir page « Ambitions du projet »).
Maintenant Roger travaille à améliorer le F2 qui
a été occupé de manière continue depuis nov. 2014. Celui-ci est assorti d’une terrasse,
d’un jardinet, d’une cave, d’une place de parking couvert et d’une place
découverte. Le statut de résident permet en outre l’utilisation de :
·
l’atelier (50 m²),
·
d’une parcelle de jardin,
·
la jouissance des parties
communes de ce jardin de 5000 m².
Tout ceci est à prendre en compte dans la valeur
comptable de l’appartement !
Le F2 (50 m²), comprend une entrée avec une penderie
et le poêle à bois ; une cuisine, côté nord, un séjour côté sud donnant
sur le jardinet, une chambre à l’est donnant sur une terrasse, jouxtant une
salle d’eau. Les toilettes sont des toilettes sèches, côté nord.
La valeur comptable de cet appartement s’élève à
112 529 €. Un apport minimal de 50 000 € est demandé à l’entrée, le solde
étant apporté suivant un calendrier dressé ensemble.
Les charges comprennent :
-
Les charges de locataire : eau, électricité, taxe d’enlèvement
des ordures ménagères ;
-
Les charges incombant à l’associé, cad, les charges de la SCI
partagées au pourcentage de m² pour taxe foncière et au tiers pour les autres.
lundi 8 mai 2023
Samedi 13 mai, Portes Ouvertes à la Souris Verte !
Venez nous retrouver samedi 13 mai (2023), à 14 h 30, et nous vous montrons ce qu'il est possible de réaliser à moindres coûts pour faire face aux dépenses d'énergies :
- eau
- bois
- fraîcheur/chaleur
- énergie physique
- entretien d'un jardin et notamment : son irrigation
Un concept qui associe étroitement la conception de la maison, les usages de ses habitants, à celle du jardin.
Par exemple, le montant des charges annuelles pour un couple avec un enfant, s'élève en 2022 à 1300 € (eau-électricité-bois et taxe ordures ménagères).
Et à 960 € pour le couple de retraités.
Cela dit, la Souris Verte, ce n'est pas qu'un bon plan économique...C'est aussi un carrefour, avec l'apéro des vendredis soirs et les échanges de temps, de matériels et de services.
Cette année est une année-charnière, car nous redéfinisssons le projet commun, avec l'espoir d'accueillir de futurs associés, pour un F2 qui va se libérer à la fin de l'année.
lundi 6 février 2023
2°
semestre 2020
Un
semestre sans compte-rendu, ne se serait-il rien passé d’intéressant ?
Il y
a sans doute un peu de ça : le cycle des saisons étant le même, les
péripéties du jardinage intéressent-elles nos sympathisants ?
On
va dire que oui ! D’abord, il n’y a pas une année pareille à l’autre, et
ce n’est pas 2020 qui me
contredira…voyons cela de près :
LA MAISON :
Plus
de travaux importants cette année. Néanmoins on a bien fait de poser des
fenêtres dans la partie atelier, pour le confort de l’appartement
au-dessus ! Et Jean a fini les rambardes de sa coursive.
PHYTO-EPURATION
Les plantes se sont bien développées, un peu
moins sur le dernier basin, où l’eau ne remplit pas la totalité du bassin, bref
les racines doivent plonger davantage. (Ce n’est pas le même système bactérien
que dans les premiers bacs). La phyto nous a bien accompagnés jusqu’à ce que le
canal –et le citerne- aient repris le relais, après quoi, avec les premières
grosses chaleurs, l’apport de la phyto à la citerne a été insignifiant,
concurrencée par l’évaporation. Cet hiver nous nous rendons compte que nous
avons fait le choix de mettre les bacs à l’ombre, et qu’en cette saison, les
mimosas les ombragent toujours de leurs feuillages… et donc l’activité
bactérienne de la phyto doit être assez basse.
CULTURES
Finalement, la mise à disposition tardive de
l’eau distribuée par le canal, n’a pas eu de répercussions sur l’activité
potagère, et nous avons pu investir le jardin comme les années précédentes.
La
météo humide a eu de nombreux effets négatifs sur les cultures : tous les
fruitiers ont eu des problèmes, soit de fruits gagnés par la pourriture, soit
de manque de production (fraisiers) ou de goût. Les légumes d’été (tomates-
poivrons-aubergines-courgettes) ont rencontré une alternance de cycles
chaleur/fraîcheur, qui les a perturbés.
Les cucurbitacées ont moins souffert , cependant les chayotes n’ont pas
voulu fleurir avant octobre, donc tintin pour la récolte. Les 2 jeunes
cognassiers ont produit des centaines de coings, tous gagnés par la moniliose.
Du coup je les ai coupés à ras… ça fera du soleil sur le grillage mitoyen plein
sud, et les chayotes que j’y mettrai en 2021 auront de l’eau au pied sans
peine, avec les infiltrations des 2 citernes voisines. Eh oui, ce n’est pas de
gaieté de cœur que j’ai coupé ces jeunes arbres !
Ont
souffert également les choux, je n’en ferai plus avant septembre, les punaises
jaunes se régalant des feuilles. Donc peu de choux, peu de navets…On pourrait
croire qu’avec une année aussi humide, les légumes racines ont été
favorisés : à part les betteraves rouges, culture facile, généreuse,
durable, reine des débutants, j’ai tout raté mes semis de carottes (une
douzaine de semis), sauf ½ rang que j’ai découvert ayant germé dans les
haricots semés par-dessus…Panais idem.
Il y a quand même eu de bonnes surprises.
Petits pois en pagaille ; oignons assez jolis ; artichauts abondants,
céleris idem, et les blettes ayant germé d’anciens pieds plantés en 2018, là où
elles voulaient, sont énormes. Et un pied de feijoa nous a donné sa première
récolte, en décembre ! Les melons, les pastèques, après un arrêt en août,
ont pu nous régaler jusqu’à la fin de l’automne.
ENGRAIS VERTS :
Partout
où des terrasses se dégageaient, ont été plantés des engrais verts. En été, le sorgho
a préparé le terrain aux fèves plantées en novembre, et le seigle planté après
les patates attendra les légumes de l’été 2021. Le mélange maraîcher de chez
Germinance est pratique pour des courtes périodes ; entre la récolte des
patates des terrasses du bas, et la plantation des aulx et des oignons, il a pu
occuper un peu le terrain et le mettre à l’ombre en été, sans exiger un
arrosage constant… Et du côté des besoins en paillage, l’herbe coupée au
jardin, ainsi que certaines récups à la déchèterie, ont permis la couveruire
des allées et en automne, de la moitié des planches. Et une voisine nous a apporté plusieurs big-bags de feuilles
sèches. Maintenant quand j’ai un moment je râtisse les feuiles de chêne en
prévision de l’an prochain.
WWOOFING :
En été, ça ne me branche pas trop d’avoir des
coups de main bénévoles, parce qu’il faut leur demander de sortir très tôt et
assez tard le soir ; le reste de la journée, pas grand-chose à faire à la maison…En
plus, il y a peu de demandes en été, et souvent des personnes qui ont envie de
se mettre au vert, sans intérêt véritable pour le jardinage. Donc on a attendu
l’automne pour recevoir Fanny, Louis et Maddy, qui ont bien contribué au
paillage, désherbage, et cueillette de cynrhodons. La cuisine, avec Maddy et
Fanny, est devenue un sacré lieu d’expérimentation.
Et
on a eu le grand plaisir de retrouver Nadia en décembre !
LES JARDINIER-E-S :
On
peut dire les jardinières, les hommes
n’apparaissant que temporairement au jardin. Du côté de Sigrun, activité
intense d’apports de matériaux pour de futures planches. Un peu déçue que ses
dernières planches se révèlent gourmandes en eau... mais il faut dire que le
voisinage de frênes présente une redoutable concurrence. Sigrun partage un
petit bout de jardin avec Pierrette ; aurons-nous une nouvelle jardinière en 2021 ?
Claire
a obtenu une belle récolte de patates, haricots aussi. Carine souhaite élargir la planche commencée l’an
dernier ; cela va me donner l’occasion de dégager le tas de branches
sèches attenant – j’essaie de faire du charbon de bois avec les bois de taille juste
coupés, et aussi du sec pour faire brûler le frais. Catherine hésite à
poursuivre le jardinage, et veut consacrer ses planches aux aromatiques.
Notre
amie et ex-wwoofeuse Charlotte s’installe pour de vrai en agriculture, et nous
lui donnons parfois des coups de main. C’est réciproque aussi : grâce à
elle j’ai pu transformer mes confitures en un seul jour (intense), aux Jardins de
la Haute-Vallée dans l’Aude. Sigrun va lui construire un poulailler mobile, sur
une bâti de remorque, ce qui la dispense de demander un permis de construire ou
une autorisation de travaux. Jean-Michel, un copain de Los Masos, lui a laissé
une belle bande de terre pour des plantations de framboisiers/fraisiers.
En
face de chez Sigrun et de chez Charlotte
à Baillanet s’installent Claire et Aloïs, un jeune couple passé nous découvrir
en février dernier, et qui ont acheté une maison dans le centre du village,
mais il y a pas mal de travaux. Comme Aloïs travaille chez un fabricant de
vélos, il a eu vite fait de connaître Jean-Michel (asso Vélomobile), que nous
retrouvons à la besogne chez eux.
C’est
sympa pour les vieux que nous sommes
devenus, de retrouver un peu cette jeunesse et l’aider a minima ! Cela
compense un peu la déception que Sigrun et moi avons éprouvée suite à la
réalisation de cette nouvelle toilette sèche au jardin, vu qu’on a mis 6 mois
pour réaliser un truc basique mais qu’en fait le truc a été monté à l’envers…
Je ne suis pas certaine que toutes les leçons aient été tirées de cette
semi-réussite (soyons positifs !) de notre première initiative collective…
mais en tout cas, ce qu’on sait déjà, c’est la nécessité de travailler au
minimum en binôme.
Et
nous avons de nouveaux voisins : la maison plein sud à côté de la nôtre,
que nous avions visitée lors de notre première visite des lieux, a été achetée
par un couple de retraités anglais, très désireux d’améliorer leur français, et
nouer des relations de voisinage. Le paysage s’en trouve un peu modifié, car
une terrasse a été créée là où il y avait une belle pente, à grands renforts de
blocs ; attention sympathique, ils ont ménagé un chemin pour l’accès
direct de chez nous à chez eux.
PERSPECTIVES 2021
Tout
d’abord, multiplier les occasions de réjouissance collectives. En profiter pour
inclure les personnes extérieures citées ci-dessus, et de nouvelles.
Combiner
ces réjouissances avec de petits chantiers d’aménagement ou d’entretien.
Un
poulailler commun ?
Pourquoi
pas un stage de greffe au printemps ? même si au niveau de l’affichage nos
lieux habituels ne sont pas disponibles (Atelier de l’Entonnoir, L’Alchimie, et
la Plantula pas encore finie de se ré-installer).
Il
semblerait que je sois bien solitaire pour imposer la mise en place des
stationnements pourtant obligatoires. Mais je ne désespère pas ! Le dégagement
du passage Nord/Sud est aussi au programme, ainsi que l’amélioration de la
chambre d’amis (ciment de réagréage et pose d’une porte). Et on nous a fait
profiter d’un bon tas de sable/ gravier, qui va permettre d’améliorer l’accès à
la route. Ou le début du stationnement…
J’aimerais
aussi exercer quelques méthodes d’intelligence collective découvertes en 2020,
afin de renforcer nos synergies sur le lieu et autour.
ET….TOUT D’ABORD :
Nous
vous souhaitons UNE BONNE ANNEE !
Sachant de toute façon, qu’on est artisan de son bonheur à
… plus de 50 %, nous vous souhaitons plein de bonnes énergies pour cet ouvrage
!!!
Printemps 2020 : Mars-Avril 2020
Après
la fermeture du canal, maintenant voilà une nouvelle calamité ( le
confinement) . S’il y en a une tous les 2 mois, j’en aurais des choses à mettre
dans la lettre !
Du
reste ce printemps n’a pas été une malédiction pour le jardin. Ni trop chaud ni
froid, sans vent, c’est LE printemps idéal ! Les pois n’ont pas versé
cette année, et grâce au confinement, toutes les jardinières qui n’avaient rien
de mieux à faire se sont consacrées à leurs jardins, donc, venez voir, il est
au top !
Et
malgré la menace de ne pas avoir l’eau du canal cet été, les plantations et
semis vont bon train. Il y a beaucoup de patates plantées cette année ! En
prévision de jours plus durs ?
L’achat
d’un chariot de jardin a bien aidé utile pour déménager terreau, mulch et
compost dans les allées étroites.
Le
retour de passage de Charlotte, avec le BEPA agricole dans la poche et le
sécateur à la main, m’a imposé une taille un peu plus sévère que celle de l’an
dernier, et maintenant les pommiers sont bien jolis, avec leur tronc tout blanc
et leurs dernières fleurs.
3
sourciers sont venus tester le terrain : oui, il y a de l’eau, à des
profondeurs et des débits variables, et pas forcément à l’emplacement des
garages, donc on peut commencer à envisager le dégagement de cette
plate( ?)-forme. Pour l’instant on va voir ce que donne la phyto, il n’y a
pas d’urgence à prévoir un puits ou un forage. En attendant, on récupère aussi
l’eau de pluie dans des poubelles.
Roger
a aménagé des espaces pour recevoir les bacs de phytoépuration donnés par Brice
et Elodie ; ils seront bientôt en service. Et les dernières pluies ont
permis de remplir les citernes à fond. Avec une consommation de 180 litres
d’eau par jour, cela devrait être plus que suffisant pour alimenter les
citernes.
Notre
vie sociale se trouve enrichie de cette période de réclusion. Claire, qui
vadrouille beaucoup à l’ordinaire, met en chantier quelques-un de ses nombreux
projets d’aménagement ; depuis peu, une banquette en bois de palette
permet de contempler la splendeur printanière.
Carine, dans l’impossibilité d’exercer, se
découvre une passion dévorante pour le tricot, tandis qu’Ema, ravie de ne plus
aller à l’école, découvre le jardin, un pommier facile à grimper dedans, le
dôme où l’on se sent comme dans un cocon tranquille… Certaines fins de semaine,
on se retrouve pour partager le temps d’un repas, avec les distances requises
bien sûr ; certains se retrouvent dans l‘atelier ou dehors pour
chanter ; enfin, il a fallu ça pour démarrer un semblant de vie de
village ! Seuls Jean et Marie continuent une activité professionnelle.
Depuis
un mois, nous avons un hôte de plus, Michaël, fils à Roger, lourdé sans façon
par son employeur hôtelier à la montagne. Il a fallu mettre sur pied un contrat
de résident de passage, car nos choix de vie sont bien différents ! Mais
quand il met la main à la pelle il ne fait pas semblant, donc nous souhaitons à
tous de trouver leur compte ici.
L’Assemblée
Générale a donc été annulée, on a quand même tenu une réunion entre les usagers
pour avaliser quelques dépenses prévues cette année et ce printemps. Vu que ce
sont surtout les usagers du jardin qui vont bénéficier de la phyto, c’est la
Souris Verte qui prendra en charge les coûts basiques (pouzzolane, tuyaux,
plantes).
L’AG
est donc reportée au Jeudi de l’Ascension, soit le 21 mai 2020. Si possible en
bas du jardin, entrée par le chemin des Tartarouses, si vous ne voulez pas vous
taper la remontée par le jardin après l’AG.
Rendez-vous
autour de 12 h 30 pour le repas tiré du sac, puis à 14 h 30 pour l’AG
elle-même.
Au
programme :
ORDRE DU JOUR ORDINAIRE
Présentation
du bilan des activités 2019 et vote pour approbation ;
Présentation
du bilan financier 2019 et vote pour approbation ;
Présentation
des projets 2020, et vote pour approbation.
Cercles
de paroles et sujets divers.
2020 ou l’année de la résilience
2
mois ont passé depuis que je vous ai adressé mes non-voeux de bonne année, avec
le dernier compte-rendu !
On
pourrait croire que l’activité est en dormance, mais à cette heure, on voit
bien que tout se réveille ! Le sommeil n’aura pas duré plus que le temps
nécessaire à faire la compta.
Au
jardin, les oignons et les pois témoignent de l’ardeur de leur jeunesse, tandis
que les choux et blettes sont dans l’épanouissement de la maturité. Narcisses,
jonquilles et violettes sont au rendez-vous, mais il faut les trouver !
Entre
eux, de belles plate-bandes couvertes de feuilles mortes et déchets verts attendent
les futurs semis et plantations, ou engrais verts.
Et
je crois bien qu’elles attendront 2021, en partie, pour se couvrir de légumes.
En
effet, on a eu un petit épisode neigeux/pluvieux, en janvier, qui a
considérablement abîmé le canal qui remplit la citerne de 12000 l (12
m3) ; et comme nous sommes en bout de canal, il est clair que nous
n’aurons pas l’eau avant… l’été. Le mimosa a un peu souffert et nécessité
quelques soins :
Par
chance nous avons aussi un petit canal, au point le plus bas du terrain, qui
peut apporter de quoi irriguer la partie basse, moyennnat l’achat d’une pompe.
Et,
de plus, nous avions décidé de mettre en œuvre le dispositif de phyto-épuration
des eaux grises du bâtiment (les habitants utilisant des toilettes sèches, à
part le cabinet de Carine, mais là on peut séparer ce qui ira dans la phyto et
ce qui partira dans le réseau d’assainissement). Des contacts sont donc pris
pour installer les bacs qu’Elodie et Brice nous ont donnés il y a quelques
années.
Enfin,
le programme de construction requérant la mise en place du stationnement, nous
planifions donc les opérations : terrassement, construction des murets de
contrefort, remblai. Cependant le muret passe au-dessus d’un endroit qui s’est
révélé boueux, lors de la création de l’assainissement, endroit a été confirmé
par la voisine comme étant l’emplacement d’un puits qui s’est comblé. Aussi
comme il serait un peu ballot de construire le stationnement avant de savoir si
on a un puits, on va différer un peu cette construction et partir sur la
recherche du puits perdu !!!
Donc,
en bref, si la tuile est bien là, il nous reste quelques mois pour s’adapter.
Déjà,
nous pouvons commencer à entasser du paillage, il en faudra davantage que
d’habitude.
Nous
éviterons sans doute de planter les légumes qui demandent de l’eau, et
peut-être faudrait-il déjà que la majeure partie des légumes soient en place et
bien enracinés quand les grosses chaleurs arriveront ; pourquoi ne pas
démarrer dès maintenant les carottes ? Et repérer ceux qui ont bien tenu à
la chaleur en 2019, comme le chou kale.
On
peut aussi serrer les cultures au maximum, les plus hauts protégeant les plus
bas ou les plus jeunes.
Comme
engrais verts, certains sont très résistants à la sécheresse (le sorgho, par ex.).Et
vu leur taille ça fera de l’ombrage aux voisins.
Les
arbres avaient déjà l’habitude de ne pas être irrigués, à part les oublis de
fermeture de robinet ! Pour ceux plantés cet hiver, il leur faudra quand
même un peu à boire. Tous ont reçu un chaulage sur le tronc, qui protège un peu
l’écorce de la chaleur.
Bref,
ce contretemps va stimuler nos neurones, nous impliquer davantage dans un jardinage économe, et prouver la
résilience du lieu !
Donc le projet 2020 est d’assurer avant tout les possibilités d’arrosage, mais pas seulement.
L’AG
de la Souris Verte aura lieu :
A 15
h le samedi 4 avril, à 16 H ;
Chez
nous ou au jardin ;
Au
menu l’ordinaire : bilan d’activité 2019 et projets ; bilan financier
et prévisionnel ; et pot d’apéro (ou de goûter).
jeudi 11 juillet 2019
NOM : VERTE Prénom : Fourmi ou Souris ?
Ah c'est bien d'avoir des jeunes ! |
Compteurs divisionnaires : 1 seul abonnement |