Episode n° 15 de la saga
de …LA
SOURIS VERTE
Décembre 2014.
MERCI à vous tous pour, comme disent les Anglais, vos
« chauds regards ».
Ce fut une année où nous
avons reçu beaucoup d’aide sous des formes différentes, et où nous avons
commencé à voir des jeunes s’intéresser à notre projet, travailler avec nous…Nous
ne sommes plus seuls dans cette histoire !
Dedans :
Tous les jours un petit plus ! Les meubles cherchent
leur place et commencent à densifier l’espace. Passez voir et partageons un café/thé !
Dehors :
Enfin les aspects extérieurs deviennent plus accueillants,
plus finis. Le mur sud-ouest est presque tout couvert de bardage. Posé dans le
sens vertical, parce que les intempéries viennent plutôt de ce côté.
Origine bardage :
Pose de la cornière anti-rongeurs :
Habillé pour…des hivers !
Il y a un petit défaut dans le dernier lot du bardage, des endroits qui font jaune, qui auraient bien reçu le traitement en autoclave, mais à l'entreposage les endroits en contact auraient perdu de la teinte.
Bon c'est joli quand même, mais faudra y repasser.
Au jardin,
Juste une
journée de travail sur le plancher du dôme, c’est 2015 qui le verra fini.
Les capucines
profitent de ce mois de décembre bien doux pour fleurir encore.
J’ai un jeune
pin qui est malade, quelqu’un peut-il commenter les phots ci-jointes ? Il
a les extrémités supérieures qui sèchent, et au-dessous il y a plein de
départs de nouvelles feuilles ou pousses.
Rencontres
Merci à
Isabelle, qui a consacré une énergie incroyable, et une grande dextérité, à seconder Roger dans la pose du bardage sud.
Une jeune
architecte et deux autres jeunes femmes sont passées nous voir, poser des
questions, raconter leurs expériences de wwoofeuses.
Merci à Aurélie qui nous a envoyé son mémoire de stage, très bien fait, très intéressant, sur les propositions d'habitat participatif émises par le maître de stage, l'Atelier du Lieu à Nantes.
Une autre
jeune femme est venue dans l’idée de trouver un lieu pour construire, si bien
que nous nous prenons à envisager l’intégration possible à la SCI, de ce
terrain voisin du nôtre, comme moyen d’élargir notre habitat groupé.
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